Le risque d’être touché par une affection chronique existe tout au long de la vie mais s’accentue à l’âge avancé. Plus encore que dans la prise en charge des maladies aiguës, les spécialistes mettent la participation active des patients au centre des thérapies.
Discussion avec Dominique Kern, maître de conférences, Laboratoire Interuniversitaire des Sciences de l’Education et de la Communication (EA2310), Université de Haute-Alsace et Yves Passadori, médecin gériatre au Centre hospitalier de Mulhouse.